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Les visites guidées

L’association Saint-Roch ! Vous avez dit cimetière propose des cycles de visites au printemps et à l’automne. Le programme est diffusé sur la page Agenda de ce site, dans les media locaux grenoblois et une version papier est disponible à l’entrée du cimetière Saint-Roch et à l’Office du Tourisme.
Si vous souhaitez recevoir régulièrement l’agenda de nos visites et de nos activités, transmettez-nous vos coordonnées par mail à inscriptions.asroch@laposte.net.

L’association propose des visites guidées sur rendez-vous pour des groupes de 5 personnes minimum.
Il suffit de prendre contact par courriel ou par téléphone pour convenir de la date, de l’heure et du thème du circuit que vous souhaitez effectuer, avec le guide concerné (sous réserve de sa disponibilité).
Contact : saint.roch.grenoble@gmail.com / – T. 07 87 63 39 83

Tarif normal : 7 € – Tarif réduit : 4 € (scolaires, étudiants, adhérents Asroch,  revenus minima sociaux) – Gratuit en-dessous de 12 ans
Tarif pour les groupes : nous contacter

POUR CONSULTER NOTRE PROGRAMME, CLIQUER ICI

 

Thèmes des visites guidées
proposées par notre association

Les artistes peintres et sculpteurs du XIXe siècle à Saint-Roch – par Mao Tourmen
En écho à l’exposition ” Grenoble et ses artistes au XIXe siècle”, proposée en 2020 par le Musée de Grenoble, l’association “Saint-Roch ! Vous avez dit cimetière ?” a créé ce circuit pour vous faire découvrir la présence tangible de ces artistes, sculpteurs et peintres, dans le cimetière Saint-Roch de Grenoble.
Sculpteurs, de leur vivant, ils y ont édifié pour leurs contemporains des œuvres funéraires remarquables, avant d’y reposer eux-mêmes dans de modestes sépultures. Artistes-peintres, ils y ont trouvé leur dernière demeure.
En allant à la rencontre de ces défunts célèbres qui ont laissé leurs empreintes dans notre ville, nos musées et notre cimetière, c’est l’intense vie artistique qui anima notre cité et la remarquable créativité qui contribua à marquer l’art urbain de Grenoble au XIXe siècle, qui vous seront évoquées.

Saint-Roch à travers quelques histoires remarquables pendant les années de guerre 1940-1945 – par Mao Tourmen
Ces hommes et ces femmes ne font pas partie des personnes les plus illustres de ce cimetière mais ils sont de ceux que les circonstances de la guerre ont brutalement confrontés à la grande Histoire.
Leurs faits et gestes courageux, leurs destins parfois tragiques, leur héroïsme, leur sacrifice nous rendent leur souvenir particulièrement exemplaire.
Vous irez à la rencontre d’Isaure Luzet, Dominique Mounier, Bruno Faccio et bien d’autres encore, méconnus ou oubliés, dont la mémoire sera évoquée dans un souci de leur rendre l’hommage qu’ils méritent et pour que leur souvenir ne s’efface pas avec le temps.

Mémoires de vies, mémoire de ville du XIXe siècle à nos jours – par Mao Tourmen
Venez découvrir l’évolution du cimetière Saint-Roch depuis des stèles très anciennes à celles de tombes plus contemporaines. A travers les sépultures de nombre de personnes remarquables, connues ou discrètes, vous irez à la rencontre de ces témoins de leur temps qui ont contribué à forger la mémoire de notre ville. De Dame Virginie Marre de Boischéry à Joséphine, dite la Dame Blanche, c’est un siècle d’histoire de Grenoble, d’anecdotes, de destins singuliers, qui vous seront contés.

Circuit découverte au cœur du cimetière Saint-Roch – par Marie-Claire Rivoire
Le cimetière Saint-Roch, créé en 1810, véritable musée à ciel ouvert, cache dans sa partie la plus ancienne, autour de sa chapelle, nombre de ses monuments les plus remarquables, témoins de la vie intense de Grenoble au XIXe siècle.
Dans ses allées arborées, vous irez à la rencontre de personnages illustres du monde politique, artistique, religieux, industriel de notre ville… mais aussi d’anonymes au destin singulier, qui reposent dans leurs dernières demeures, flamboyantes ou à l’abandon, et ce depuis parfois plus de 200 ans !
Vous pourrez admirer des tombeaux sculptés par les célèbres statuaires grenoblois et découvrir des symboles funéraires, souvent énigmatiques, qui ornent nombre de stèles, même les plus modestes.

Les médecins à Saint-Roch – par Jean-Louis Reymond
La visite d’une vingtaine de tombes illustre deux siècles de vie médicale à Grenoble. Du Père Ovide, dernier chirurgien de l’ancien régime à Dominique Mounier, étudiant en médecine tué au combat en 1944, des personnalités différentes ont laissé leur trace: médecins, chirurgiens, pharmaciens, sages-femmes, initiateurs de la protection sociale, propagateurs du thermalisme, de l’homéopathie…
Ces praticiens ont animé la vie de la cité comme médecins libéraux, médecins et chirurgiens des hôpitaux, professeurs à l’École de médecine à une époque où l’École de chirurgie devenait lentement Faculté de médecine.

Vies publiques, vies privées : récits inattendus sur des destinées singulières – par Mao Tourmen
Grandes familles d’industriels, de commerçants, de notables ou de grenoblois anonymes, il y a souvent derrière chacun d’eux une facette cachée, une anecdote inédite,  un aspect insoupçonné à  découvrir. Venez écouter leurs confidences, elles vont vous surprendre !

Les monuments remarquables du Petit-Père Lachaise grenoblois – par Marie-Claire Rivoire
Le cimetière Saint-Roch, lieu de mémoire et de méditation, est un véritable musée à ciel ouvert au cœur de la cité.
Nombre de tombes sculptées ou ornées par les statuaires les plus célèbres du XIXe siècle s’égrainent le long les allées les plus anciennes du cimetière Saint-Roch, où elles côtoient des sépultures plus humbles mais non dépourvues d’intérêt.
En 1908, dans le guide pratique de Grenoble et ses environs, on invitait le touriste à visiter le cimetière où on y trouve des “monuments funéraires vraiment artistiques”.
Depuis, ces monuments ont subi bien des vicissitudes, usure du temps, vols de statues, pollution ; mais ils sont toujours là pour témoigner d’une période où l’art funéraire s’exposait aux yeux des curieux et des touristes qui venaient s’y promener.
A travers cette visite, vous découvrirez la beauté et l’originalité de ces sépultures, ainsi que l’histoire des défunts qu’elles abritent.

Grenoble, dans le tourbillon de l’ère napoléonienne – par Mao Tourmen
Du jeune Bonaparte à l’empereur exilé à Sainte-Hélène, notre ville a vécu intensément ces années  mouvementées telles qu’elles nous sont évoqués à travers le destin de quelques personnages, civils ou militaires, qui s’y sont illustrés. Acteurs ou témoins, ils on fait parler d’elle, dans le complot du retour de l’île d’Elbe,  les conspirations, les actions batailleuses, les prises de positions politiques et religieuses ; ils ont infléchis le cours de son histoire.

Le monde de Stendhal à Saint-Roch – Promenade littéraire par Christiane Mure-Ravaud de l’association Stendhal
En  dépit des mauvais souvenirs qu’il a gardés de sa ville natale, Henri Beyle dit Stendhal a laissé dans ses œuvres de nombreuses traces de ses racines grenobloises. Si lui-même ne repose pas en terre dauphinoise, mais au cimentière Montmartre à Paris, parmi tous ceux qu’il a côtoyés dans sa jeunesse, parents ou amis, beaucoup ont été inhumés au cimetière Saint-Roch. Pour tout lecteur de Stendhal, il est donc intéressant d’organiser une visite des monuments funéraires érigés à la mémoire des êtres que le grand écrivain a connus, dont certains sont devenus pour nous des personnages dans La Vie de Henry Brulard, dans sa correspondance ou son journal intime. Si peu en sortent indemnes, nombreux sont ceux qu’il a sortis de l’anonymat, pour notre plus grand plaisir.

Histoire de gants au cimetière Saint-Roch – par Mao Tourmen
Si le gant ne jouit plus de sa notoriété d’antan, aujourd’hui nous retrouvons la mémoire du temps, où il était un élément primordial du quotidien de notre ville en parcourant les allées du cimetière Saint Roch à la découverte des tombes de ceux, nombreux, qui firent vivre sa belle époque à Grenoble et dans ses environs. Pratique ou ostentatoire, le gant, c’est tout une histoire !

La guerre franco-prussienne 1870-1871 à Saint-Roch, son monument, ses héros – par Monique Bonvallet
La guerre prussienne déclarée par Napoléon III à La Prusse le 19 juillet 1870 se terminera à la signature de l’armistice le 29 janvier 1871. Le 10 mai 1871, le traité de paix de Francfort consacre définitivement la victoire allemande.
La visite concerne un parcours d’une douzaine de sépultures et l’histoire à rebonds du monument aux morts de 1870, réalisé in fine par Eustache Bernard après d’autres projets de Firmin Gautier et Henri Ding. Devant ce monument situé en face de la chapelle seront évoqués quelques héros grenoblois non inhumés à Saint-Roch, dont le nom est inscrit sur ce monument et qui sont de souche grenobloise, chefs de bataillon ou simples soldats.
A ces personnages seront associés parallèlement l’histoire de l’ambulance dauphinoise conçue à Grenoble en novembre 1870, des francs-tireurs, terme apparu en 1854 au siège de Sébastopol en Crimée, de la garde mobile de l’Isère créée en février 1848 en suite de l’Insurrection parisienne,…

Halte là… les montagnards sont là ! – par Mao Tourmen
Certains l’ont chantée ou l’ont peinte, d’autres l’ont arpentée, étudiée avec ardeur, gravie ou défiée avec témérité au péril de leur vie … A Saint Roch, où ils reposent désormais, nous vous racontons la montagne à travers la passion de tous ces amoureux des cimes. Ils sont des dizaines de tout âge et de tous horizons à avoir aimé les sommets, même les plus inaccessibles, au risque d’y trouver une fin dramatique.
Alpinistes, guides, secouristes, botanistes, artistes peintres, musiciens ou écrivains, dont l’engouement pour nos montagnes fut remarquable, ils contribuèrent, tous, à la renommée de Grenoble qui est devenue Capitale des Alpes, grâce à eux.

Circuit découverte des monuments remarquables du XIXe siècle – par Marie-Claire Rivoire
En 1908, dans le Guide pratique de Grenoble et ses environs, on invitait le touriste à visiter le cimetière où on y trouve des “monuments funéraires vraiment artistiques”.
Nombre de ces tombes sculptées par Henry Ding, célèbre statuaire du XIXe siècle, s’égrainent le long de la 1ère allée principale du cimetière dans l’agrandissement de 1870, lieu privilégié de cette visite.
Si ces monuments ont subi bien des vicissitudes : usure du temps, vols de statues, pollution, ils sont toujours là pour témoigner d’une période où l’art funéraire s’exposait aux yeux des curieux et des promeneurs.
Ces sépultures, dernières demeures de familles de notables et d’industriels, de gantiers et d’artistes-peintres qui jalonnent le parcours, vous livreront leurs secrets ainsi que les tombes plus modestes et non dépourvues d’intérêt qui les côtoient.

 

MAJ le 22/02/24